

NIMH
Né dans la France des années 80, NIMH fut au premières loges pour assister à la fin d’un monde et à l’avénement d’un nouveau qui ne tenait pas exactement les promesses des références culturelles qui ont bercé son enfance.
Ayant vécu aux quatre coins du monde développé, de Paris à San Francisco en passant par Londres, il fut marqué par une conclusion qui s’imposa à lui ; tous nos pays sont confrontés aux mêmes problèmes.
Certaines personnes sont nostalgiques d’un passé qu’ils n’ont pas connu, NIMH est lui hanté par le futur des nouvelles d’Heinlein qui lui fut volé.
Si les premiers sont des réactionnaires, NIMH est ce qu’il est commun d’appeler aujourd’hui un néoréactionnaire.
Représentant français de ce courant, NIMH livre un message simple teinté d’optimisme via le magazine en ligne RAGE qu’il a cofondé en 2019 : « le passé fut grand et le futur peut l’être aussi, si toutefois on s’en donne les moyens. »
Un message qui fait écho auprès des âmes bien nées, ou du moins auprès des plus de 40 auteurs dont le magazine a accueilli la plume jusqu’à présent.

Une pensée pour l’après-monde
Avec le Traité Néoréactionnaire, NIMH signe un texte dense et sans concession, mêlant philosophie, critique sociale et anticipation politique. Porté par l’influence de penseurs comme Nick Land, l’auteur explore la faillite des modèles modernes, la montée en puissance des technologies et l’effondrement des récits progressistes. Véritable manuel pour ceux qui veulent comprendre – et affronter – le réel tel qu’il vient, ce traité est une invitation à sortir des illusions et à repenser la civilisation à partir de ses ruines.